Autour de la prostitution de rue en Drôme...
L’association effectue des maraudes sur les lieux de prostitution de rue en Drôme autour de Valence, le long du Rhône jusqu’en Ardèche et autour de Montélimar.
Nous y distribuons du matériel de prévention ainsi que des collations,
Nous privilégions la rencontre et le contact humain
Nous nous rendons disponibles pour des RDV et accompagnements individiuels à la demande des femmes rencontrées (accompagnement au parcours de santé, soutien juridique, accompagnement aux démarches vers l’emploi, ouverture de droits, accompagnement aux dépôts de plainte…)
Nous repérons également des travailleuses du sexe souhaitant mettre fin à cette activité et les y aidons.
Le tout dans une dynamique strictement pro-choix.
Et de la prostitution invisible...
Selon plusieurs témoignages de femmes que nous accompagnons, le recours à la prostitution peut fortement isoler à tous points de vue les personnes concernées.
Passant par internet pour organiser leur activité, la seule lucarne sur l’extérieur est alors le téléphone, les réseaux sociaux, les plateformes internet.
Nous essayons de nous rendre accessibles sur les réseaux sociaux afin que les femmes le souhaitant nous contactent.
Egalement, nous avons une attention particulière et un accompagnement spécifique pour les femmes en situation d’extrême pauvreté et/ou de précarité d’habitat, de santé ou administrative. Elles sont les plus exposées à la possibilité d’avoir recours ponctuellement à la prostitution.
Et de la prostitution invisible
Selon plusieurs témoignages de femmes que nous accompagnons, le recours à la prostitution peut fortement isoler à tous points de vue les personnes concernées.
Passant par internet pour organiser leur activité, la seule lucarne sur l’extérieur est alors le téléphone, les réseaux sociaux, les plateformes internet.
Nous essayons de nous rendre accessibles sur les réseaux sociaux afin que les femmes le souhaitant nous contactent.
Egalement, nous avons une attention particulière et un accompagnement spécifique pour les femmes en situation d’extrême pauvreté et/ou de précarité d’habitat, de santé ou administrative. Elles sont les plus exposées à la possibilité d’avoir recours ponctuellement à la prostitution.
